EDITORIAL
Cher(e) Adhérent (e) des Amis de René Bazin,
L’année 2013 a connu un développement significatif de notre jeune association, créée voici six ans.
Dans le domaine de la communication numérique, prioritaire aujourd’hui, l’animation de notre site internet s’est poursuivie de façon régulière. Je souligne aussi la réalisation, avec la cinémathèque de Vendée, du DVD « La Terre qui meurt », diffusé en juillet dernier. A noter enfin la récente mise en ligne sur E Books, juste avant Noël, du roman social « De toute son âme ».
Sur le plan des rééditions de livres, il convient de rappeler ici le dynamisme de la jeune maison d’éditions CPE Marivole, qui a sorti quatre titres de R. Bazin en 2013 : « Les Oberlé, Le Blé qui lève, Ma Tante Giron et le Roi des Archers » (voir ci-dessous).
Enfin, nous avons développé les relations avec nos partenaires : émissions radio, conférences et participation à plusieurs rencontres ou salons littéraires… Sans les citer tous, on peut évoquer ici l’Oeuvre des campagnes et le Salon des écrivains catholiques de langue française (suite de la corporation des publicistes chrétiens présidée par R. Bazin de 1915 à 1923).
Les projets pour 2014 et 2015 ne manquent pas : plusieurs conférences, – la première en Alsace dès février – sont prévues dans le cadre du Centenaire de 1914. L’apposition de la plaque en mémoire de R. Bazin (désormais réalisée) sur l’immeuble du 6 rue St Philippe du Roule devrait avoir lieu au printemps. En matière de rééditions, deux projets sont lancés : Voyages en Italie et Fils de l’Eglise. Enfin, nous travaillons sur la préparation d’un colloque universitaire qui aura lieu en 2015 à Angers… C’est notre projet phare.
Au nom de tous les membres du Conseil d’administration, que je remercie pour leur travail et leur participation au développement de notre association, je présente à chacune et à chacun d’entre vous, mes vœux les plus chaleureux de bonne et heureuse année 2014.
Le 3 janvier 2014
Jacques Richou
président des Amis de René Bazin
REEDITIONS
Les éditions CPE-MARIVOLE ont réédité en 2013 « Ma tante Giron », « Les Oberlé », ainsi que «Le blé qui lève » et « Le roi des archers ». A l’occasion de cette dernière réédition, diverses manifestations ont eu lieu, notamment à Lille, organisées par notre adhérente Brigitte de Baudus.
RENÉ BAZIN ET ROME
Ce texte a été lu à Rome sur la terrasse du couvent Villa Angeli, via Paolo Bentivoglio, à l’occasion du voyage organisé par l’Académie des Belles Lettres, Sciences et Arts d’Angers le 11 octobre 2013.
« Il ne faudrait pas visiter Rome. Il faudrait l’habiter, la contempler à ses heures de suprême beauté, et lui dire des mots d’amour, comme à une femme… Ce sont là des moments rares, imprévus que les guides sont impuissants à préparer, dont la douceur prend l’âme, tout au fond ».
René Bazin est fasciné par l’Italie dans la pure tradition du « Grand Tour » cher aux amateurs d’art, collectionneurs et écrivains du XIXème. Il a multiplié ses séjours et voyages en Italie, et tout spécialement à Rome, enrichissant autant la littérature que la diplomatie dans la période mouvementée du début du XXème siècle.
A peine âgé de 30 ans, il est, dès 1880, correspondant à l’Osservatore Catholico et y tient une « Chronique de Paris » (jusqu’en 1888). Il « subit l’ensorcellement de cette ville unique ! Comme on comprend les peintres ou les âmes fatiguées et rêveuses qui sont venues à Rome pour trois semaines et ne l’ont plus quittée ! » et il conclut ses récits sur Rome par ces mots : « La beauté de Rome est inépuisable. Aucun artiste ne l’a vue et n’a espéré la dire toute » !
De tous ses voyages, à travers sa correspondance, ses carnets, il rapporte de merveilleux croquis de paysages – Sicile, Croquis italiens en 1893 ; il analyse de façon pertinente « Les Italiens d’aujourd’hui » en 1894 ; il devient le témoin privilégié des relations entre la France et le Vatican entre les deux guerres ; enfin, on peut dire qu’il est la source majeure d’informations pour les journalistes et écrivains catholiques jusqu’à sa disparition en 1932.
Il vit intensément à chaque voyage la transformation de Rome, le long du Tibre entre Sainte-Marie Majeure et Saint-Jean de Latran. Ses récits augmentent considérablement son œuvre, il y est à la fois journaliste et romancier. « Les œuvres d’art ne se racontent guère. Il en est autrement d’un trait de moeurs, d’une conversation sur un fond d’actualité, d’une institution locale oubliée par les guides et les voyageurs ». Il témoigne d’une curiosité insatiable et d’une grande empathie envers les romains des plus simples aux plus influents. Il rencontre « des gens qui ne sont étonnés de rien… Vous croyez leur apprendre quelque chose, mais ils en savent déjà la moitié ou bien s’en doutaient… »
A la fois invité de marque dans les palais, il n’hésite pas à monter à cheval dans les quartiers pauvres, très préoccupé par la propagation de la malaria depuis les marais autour de Rome, l’Agro Romano qui n’ont commencé à être asséchés que vers les années 1887.
Non seulement sociologue, il est aussi le peintre ébloui de la lumière romaine. Depuis Saint-Jean de Latran il évoque : « des ombres bleues, des toits de maison qui ne sont que de longues lignes d’azur, des courbes infiniment pures, des coupoles s’élevant sur le Ciel qui est léger, couleur d’or pâle, pareil aux auréoles byzantines » et la campagne romaine est pour lui «une harmonie de lumière que les mots ne peuvent rendre » !
Mais à chacun de ses voyages, René Bazin renforce aussi ses relations avec la Papauté, jusqu’à y jouer un rôle diplomatique d’influence. Il fut un lien privilégié français avec le Saint-Siège sous les Pontificats de Pie X (1903-1914) de Benoît XV (1914-1922) et même de Pie XI (1922-1939).
Le 14 mars 1914, René Bazin est à Rome et « tout de suite il se rend compte de la crainte révérencielle dans laquelle on vit en Italie à l’égard de l’Allemagne ». Il s’inquiète de voir la position de la France incomprise et même discréditée par les Italiens. Il multiplie les rencontres avec laïques et religieux, et le 20 Mars 1915, l’entretien avec Benoit XV porte sur la guerre. René Bazin informe le Souverain Pontife de ce que les Allemands avaient fait de la Cathédrale de Reims « en le suppliant de ne pas refaire la politique du ralliement »
Durant toutes ces années, l’Académicien renforce son rôle de représentant de l’ensemble des écrivains et journalistes catholiques français. Président du Bureau Catholique de la Presse, (précédemment « Corporation des Publicistes Chrétiens »), il anime leur revue «Les Nouvelles religieuses» qui fournissait aux journaux catholiques de tous les pays des éléments d’informations de première main et qui était très prisée à Rome.
De retour à Angers, le tropisme italien a marqué définitivement René Bazin. Avec ses amis, romains comme lui, Pierre de Nolhac ou Henry Bordeaux, il gardera la mémoire vive de ses voyages à Rome, évoquant alors «la lumière romaine de la Loire, qui en cette partie du fleuve ainsi que dans la Touraine a une douceur italienne.»
Monique CATTA
REVUE VMF
Paru le 2 janvier 2014 – Dossier spécial Angers
Nous vous invitons à vous procurer ce numéro des VMF sur Angers. Vous y trouverez un article de quatre pages : « Aux Rangeardières, la présence de René Bazin » (Jean-Baptiste Rendu).
www.vmfpatrimoine.org
93 rue de l’Université
75007 Paris
TEMOIGNAGE D’UNE MONIALE
Extraits de la lettre des moniales « La Font de Pertus » (oct.2013)
En août dernier le Pape demandait aux jeunes – c’est-à-dire à nous tous, n’est-ce-pas ? – de « parier sur un grand idéal, l’idéal de bâtir un monde de bonté, de beauté et de vérité ». Il ajoutait : « Si vous ne le faites pas, c’est par paresse. S’il vous plaît, allez à contre-courant ».
Quelqu’un peut nous aider dans cette mission qui nous est confiée : René Bazin. Si un vrai romancier a su entraîner ses lecteurs vers le beau, le vrai et le bien, c’est bien lui ! La réédition de certains de ses ouvrages, enrichis chacun d’une étude passionnante de Jacques Boislève, nous permet de découvrir cet écrivain.
Né en 1853, René Bazin fut élu à l’Académie Française en 1903. François Mauriac a reconnu ses mérites : « M. René Bazin a mérité de voir ce que les plus grands n’ont pas vu : l’action de la grâce dans le monde…Une vision catholique du monde, voilà ce qu’est l’œuvre de René Bazin ».
Le beau est sensible chez cet écrivain dans la perfection de la langue, simple et très riche. Campant en phrases souvent brèves des personnages et des paysages inoubliables, l’académicien emploie un vocabulaire d’une précision étonnante. Pour son lecteur, c’est un plaisir permanent ! On les relit avec une joie profonde.
Le bien, René Bazin le pratique avant de le décrire. Avec son ami Albert de Mun, il œuvre pour améliorer le sort des ouvriers. On retrouve toujours dans ses livres ce don d’amitié, cette attention naturellement portée aux personnes de condition modeste, ouvriers ou paysans, louant chaque fois qu’il le peut, la sagesse, la bonté, l’honnêteté des meilleurs d’entre eux. Dans le regard qu’il porte sur les êtres, dans la façon qu’il a de les tirer vers le haut, Bazin n’a jamais été remplacé. Au regard noir porté sur la condition humaine de son temps par le naturalisme (Zola…), René Bazin oppose son regard. A le lire, on se sent devenir meilleur, touché par sa bonté désarmante, jamais douceâtre.
Et le vrai ? En journaliste habitué au reportage, Bazin n’écrit pas sans effectuer d’abord une minutieuse enquête sur les lieux de son roman : il interroge, se pénètre des paysages, dessine et prend des notes. Son sens de l’observation est extraordinaire. De ces multiples rencontres, il fait naître des personnages indiscutablement vrais, auxquels nous pouvons nous confronter.
Ses romans – le lui a-t-on assez reproché ! – sont des romans chrétiens. Pourquoi n’y aurait-il pas de romans chrétiens ? Ces grandes questions de l’âme et du salut ne sont-elles pas suffisamment cruciales pour être ainsi posées ? L’auteur le fait avec un équilibre et une discrétion exemplaires. Aussi ses livres sont-ils goûtés même des incroyants, tant ils sont parfaits en humanité. Ces lectures peuvent nous aider à mettre davantage de bonté, de beauté et de vérité en nous et autour de nous. Ayons le courage de tirer de notre foi catholique les réponses que notre temps demande. Gardons la joyeuse santé de la foi !
Sœur Placide OSB Abbesse,
Abbaye Notre-Dame de l’Annonciation
DVD DE LA TERRE QUI MEURT
Grâce à la ténacité et la persévérance de notre vice-présidente Elisabeth Masson, le dvd est sorti en juillet 2013. Ce fut un succès puisque votre association en a expédié 160 exemplaires. Sans le partenariat de la cinémathèque de Vendée et le soutien du Conseil Général de Vendée cette opération n’aurait pu aboutir. 6 émissions sur TV Vendée et des articles dans la presse régionale ont fait l’écho de cette réalisation. De nombreuses lettres nous sont parvenues, en voici quelques extraits :
– “ Sentimentalement je serai très heureux de le visionner car la maman de mon épouse née en 1912 figurait dans ce film. Elle nous a même précisé, à l’époque, les scènes où on aurait la chance de l’apercevoir”,
– “Ma mère et ses amies en 1949 à Bourneuf en Retz avait monté ce spectacle en représentation théâtrale”,
– “L’effort fourni pour cette réalisation permettra sans doute de prolonger la durée de vie de ce morceau de patrimoine vendéen et français”,
– “Je suis émue qu’il soit remis au jour pour les générations suivantes. Je suis angevine comme René Bazin et j’ai travaillé la terre chez mes parents maraîchers pendant 22 ans”.
RENE BAZIN ET LE CENTENAIRE DE LA GUERRE 14-18
« La publication de ces récits, c’est un peu ma part de guerre. Ne pouvant me battre parmi les soldats, j’ai tâché du moins :
– de soutenir les courages,
– de célébrer les actes d’héroïsme et la foi de nos armées
– et de montrer la force d’une France unanime,
…autant de raisons d’espérer la victoire et la paix française…. »
Récits du temps de la guerre, 1915
En parcourant la soixantaine d’ouvrages, écrits par l’académicien, entre 1880 et 1930, on constate l’influence considérable de la 1ère guerre mondiale dans son œuvre, que ce soit dans ses romans, ses essais, ses récits de voyages, ses biographies ou encore ses contes de jeunesse. Dans tous ces types d’ouvrages, on peut facilement recenser plusieurs titres qui abordent, de façon parcellaire ou complète, cette période essentielle et cruciale pour notre pays. Au total, on peut dénombrer une quinzaine de livres, soit le quart de ses publications, qui abordent directement la question de la guerre : sa montée en puissance inexorable, les années terribles de 14-18, vécues au front et à l’arrière dans les familles, puis ses conséquences immédiates dans la décennie 1920/1930.
Dès les années 1880, le tout jeune écrivain discerne bien dans ses premiers écrits les causes prévisibles et la venue probable d’un prochain conflit majeur avec l’Allemagne. Après la défaite humiliante de 1870, le climat de revanche se développe de façon bien explicable ; d’autant plus qu’il ne peut que s’accentuer, suite à l’échec durable des visées monarchistes depuis la mort du Comte de Chambord en 1883 ; puis avec les crises successives du Boulangisme et des politiques anticléricales et sectaires de l’époque. R. Bazin publie en 1901 un livre célèbre « les Oberlé », le roman de « la patrie blessée » qui va connaître un immense succès (plus de 400.000 exemplaires). C’est bien ce roman patriotique qui va ouvrir à l’écrivain les portes de l’académie française, dans un climat international, bien marqué à cette époque par l’environnement « prussien ». Outre ce livre, il faut citer aussi les titres suivants, qui évoquent la tension croissante avec l’Allemagne : « Croquis de France et d’Orient 1899, Le guide de l’Empereur 1901, le Duc de Nemours 1905 et la Douce France 1911 ».
Le 3 août 1914, l’Allemagne déclare la guerre à la France. Suite à la mobilisation générale, les deux fils et les trois gendres de l’académicien rejoignent aussitôt les unités combattantes. Il est facile d’imaginer alors les préoccupations de l’écrivain, âgé alors de 61 ans. Comme le précise la présentation ci-dessus de cet article, R. Bazin va alors s’engager à fond dans « un combat littéraire ». Il multiplie articles de presse dans les journaux de l’époque, chroniques du temps de guerre, études diverses et conférences. Tous ces écrits concernent, à la fois, le front et aussi la vie quotidienne à l’arrière. Ils seront ultérieurement regroupés et publiés sous forme d’ouvrages ; en voici quelques titres : « Les récits du temps de la guerre 1915, Aujourd’hui et demain 1916, la Campagne française et la guerre 1917, la Closerie de Champdolent 1917, les nouveaux Oberlé 1919 ». Il convient de souligner la diversité des lieux évoqués dans tous ces récits : de l’Alsace à la Lorraine et à la Meuse, de la région du Nord à la Belgique et au Royaume Uni, nos alliés ; de la Vendée à la Bretagne, sans oublier les autres régions de France, notamment la Provence.
Le 11 novembre 1918, alors que le Maréchal Foch, généralissime des armées alliées, signe enfin l’armistice avec l’Allemagne à Rethondes, on peut imaginer le climat d’apaisement et d’immense joie qui règne alors dans la demeure familiale de R. Bazin aux Rangeardières – comme dans toutes les familles à nouveau réunies – . Enfin, la paix retrouvée ! C’est dans ce lieu même que René Bazin recevra Ferdinand Foch, avec lequel il aura des liens amicaux et réguliers. Il partage avec lui, tout au long de la décennie 1920-1930, ses réflexions sur les ambigüités évidentes des traités de paix, signés à Versailles en 1919, avec 28 Etats et la SDN. Au cours de cette période, R. Bazin publie encore plusieurs ouvrages, profondément marqués par les conséquences de la guerre : « Charles de Foucauld 1921, Il était quatre petits-enfants 1922, Baltus le Lorrain 1926 et Magnificat 1931 ».
En relisant les ouvrages, évoqués ci-dessus, on peut mesurer l’intensité et la permanence de l’attachement de l’académicien à son pays, à la terre des pères, à la « Douce France » ; livre dans lequel il écrivait :
« Il est nécessaire aujourd’hui de montrer aux Français pourquoi nous devons aimer la France et ne jamais désespérer d’elle…La France est appelée douce à cause de sa courtoisie, de sa finesse et de son cœur joyeux…Mais la Douceur n’est pas faible, elle n’est pas timide. La Douceur est forte. La Douceur est armée pour la justice et pour la paix …N’ayez pas peur de la guerre. Priez pour qu’elle soit épargnée à notre pays, mais si elle est déclarée, alors, jetez-vous-y ». La Douce France, 1911
Ces lignes nous parlent encore aujourd’hui ; elles ne cessent d’étonner par leur actualité et la justesse de leur discernement.
Le 3 janvier 2014 Jacques Richou
GRILLES CROISÉES
KAKEMONO
Ce Kakémono a pu être réalisé grâce à l’appui de nos adhérents Elisabeth de Beauchaine et François Comte. Il est orné d’un tableau peint par Coraboeuf, provenant du musée d’Angers. Il nous servira de support de communication lors des manifestations auxquelles participe votre association.
D’autre part, 1500 marque-pages ont été réédités.
Pour répondre aux nombreuses questions qui nous sont posées, voici un petit rappel généalogique RENE-BAZIN/HERVE-BAZIN
APPEL (ou RENOUVELLEMENT) DE COTISATION POUR 2014
JE DONNE MON ADHESION à l’association : « LES AMIS DE RENE BAZIN » (*)
Prénom et Nom : Date :
Adresse postale :
Adresse mail :
Signature :
Je joins mon règlement de 12 €, par chèque à l’ordre des Amis de René Bazin (tarif individuel)
Tarif pour une adhésion jeunes < 26 ans, à 5 €.
(*) A retourner à Henri Viot : 11, rue de Paris, 45410 ARTENAY
Adresse courriel: assoamisrb@gmail.com
APPEL (ou RENOUVELLEMENT) DE COTISATION POUR 2014
JE DONNE MON ADHESION à l’association : « LES AMIS DE RENE BAZIN » (*)
Prénom et Nom : Date :
Adresse postale :
Adresse mail :
Signature :
Je joins mon règlement de 12 €, par chèque à l’ordre des Amis de René Bazin (tarif individuel)
Tarif pour une adhésion jeunes < 26 ans, à 5 €.
(*) A retourner à Henri Viot : 11, rue de Paris, 45410 ARTENAY
Adresse courriel: assoamisrb@gmail.com
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